PRESENTATION PRODUITS VENDUS BANQUE DES BOIS LEXIQUE DU BOIS DESTOCKAGE DEVIS CONTACT
 

 

 

 

LEXIQUE DES BOIS LETTRE "C"

Calepinage

Le calepinage désigne le moment où l'on repère et établit, sur plans, les éléments de dimensions variables qui entreront dans la composition des façades d'une construction

Charpente

La charpente est un assemblage de pièces qui constituent le "squelette" d'un édifice. Mais ce terme s'applique également à un plancher ou à un escalier. Quant à la charpente de toiture, son rôle est de supporter la couverture du toit et de résister aux différentes contraintes extérieures (vent, neige?).

Carrossier  : (carrosserie) - XVII° s. - : anciennement, fabricant de carrosses. Ce terme désignait aussi le conducteur de carrosses.
Chaisier - de chaise vers 1781 - : artisan qui fabrique des chaises (voir aussi menuisier en sièges).
Charbonnier

: de carbonarius - XII° s. - : ouvrier qui fabrique ou vend le charbon de bois.

Charpentier (charpenterie) - de carpentarius XII° s. - : artisan qui façonne, charpente le bois et effectue des travaux de charpente. Ce terme désigna jusqu'au XIII° s. les artisans du bois (cf. rubrique "Le travail du bois").
Charpentier de la grande cognée au XIII° s., artisan qui fabriquaient les pièces de charpente, les planchers et les structures à pans de bois, par opposition aux charpentiers de la petite cognée.
Charpentier de la petite cognée au XIII° s., artisan qui exécutaient les ouvrages de dimensions réduites tels que les coffres et les bancs destinés à l'aménagement des édifices
Charpentier de marine artisan du bois spécialisé dans les constructions navales. Cette désignation tient au fait que l’ossature des navires était considérée comme une charpente retournée.
cache moinéeau (n.m.) Sorte d'entretoise, placée entre les chevrons, lorsque ceux-ci forment une saillie : " le cache moineau peut reposer sur la sablière, ou être posé devant celle-ci ". Il existe des caches-moineaux moulés, emboutis ou contre-profilés s'adaptant à divers matériaux de couverture ; ils portent alors plus généralement le nom de closoir.
cadre (n.m.) Assemblage rectangulaire de quatre pièces de bois.
caillebotis (n.m.) "Panneau à claire-voie constitué soit d'une grille de lames métalliques, soit de baguettes de bois assemblées en quadrillage, soit de matière moulée (plastique ou caoutchouc). Le caillebotis peut servir de grille d'aération, de grille de caniveaux, de marches d'escaliers, de passerelle, de plancher technique, d'antidérapant sur les sols industriels ou dans les douches de collectivités, d'éléments brise-soleil sur les façades, etc.
caisson (n.m.) 1. Compartimentage résultant de l'entretoisement des solives d'un plafond et réalisé dans un but décoratif. 2. Habillage d'une saillie de chevrons, formé d'un bandeau vertical et d'un panneau généralement de niveau. 3. Poutre-caisson : poutre creuse composée de deux âmes entre lesquelles prennent place des membrures hautes et basses, ainsi que des raidisseurs diversement disposés.
calepinage (n.m.) Action d'établir et de repérer sur des plans, à l'aide chiffres et lettres, les éléments de dimensions variables devant entrer dans la composition des façades d'une construction.
cantilever (n.m.) Se dit d'un système de construction appliqué à des poutres comportant au moins deux travées, et caractérisé par le fait que les joints sont disposés dans les travées au lieu d'être placés sur les appuis (ce qui permet aux éléments de franchir des portées plus importantes).
carrelet (n.m.) 1/ Pièce de bois de section carrée, de 15 à 50 mm de côté.
cèdre (Cedrus atlantica.) Cèdre de l'atlas. Angl. : Atlantic cedar, atlas cedar. All. : Atlaszeder. Ital. : Cedro. Provenances : Proche-Orient et reboisement français.

Cépée

Tiges issues d'une même souche se présentent en bouquets.

Cerne annuel

Couche d'accroissement correspondant à une période de croissance d'un an

cerce (n.f.) Longue bande de bois carré ou méplate, et flexible, servant à tracer les lignes courbes et, en particulier, les débillardement des limons d'escalier. 2. Calibre de forme courbe servant à reproduire cette forme.
chaise (n.f.) 1. Bâti en bois supportant une machine pour la surélever. 2. Assemblage de poutres disposées en carré, et servant de base à la charpente d'un clocher. 3. Ossature légère fixée en saillie sous les chevrons, pour en supporter l'habillage.

Chambranle

chambranle n. masc. Encadrement de certaines parties d'une construction. Chambranle de porte, de cheminée

chambrée (n.f.) Dans la charpente d'un comble, espace compris entre le dessous des chevrons et le dessus des arbalétriers, et dans lequel se logent les pannes (les pannes sont dites " hors oeuvre"). Il arrive cependant que les arbalétriers soient situés dans la chambrée des pannes (les pannes sont alors dites "en oeuvre").
chanfrein Surface oblique et plane formée par l'arête abattue d'une pièce de bois. Un chanfrein et dit continu lorsqu'il se poursuit jusqu'aux extrémités de cette pièce, et arrêté ou suspendu lorsqu'il est interrompu, une ou plusieurs fois, au droit des assemblages. Syn. Biseau .parquet avec ou sans chanfrein
chantourner (v.tr.) Découper ou évider une pièce de bois suivant un profil courbe à l'aide de la scie à chantourner " les saillies des pannes sont souvent chantournées en doucine ".
charge (n.f.) Poids que supporte une poutre, une ferme, un étai etc. . On distingue les charges permanentes, qui correspondent au poids propre des éléments de construction, les charges temporaires qui résultent de l'action de la neige et du vent et des conditions d'exploitation, les charges ponctuelles, permanentes ou temporaires appliquées en un point précis d'un élément de structure.
charpente (n.f.) De façon générale, assemblage de pièces de bois, de poutrelles de béton ou de profilés métalliques, composant l'ossature ou squelette d'un édifice, d'un plancher, d'un escalier, et, dans le sens courant, l'ossature porteuse et le contreventement d'un comble. Les charpentes de toiture doivent à la fois porter sans déformation les matériaux de couverture, et résister aux efforts et charges dus au vent et à la neige. La répartition des forces et des charges des charpentes utilise le caractère indéformable du triangle ; d'où la triangulation de la plupart des charpentes sous forme de fermes. "NB - Il est traité ici des charpentes de toiture : V. aussi Escalier, Lucarne, Maison à ossature bois, Pan de bois, Plancher. 1/ Charpente en bois. Ossature indéformable constituée par un assemblage de pièces de bois, basé sur les principes de la triangulation. V. le DTU, les Règles CB. (Règles de calcul et de conception des charpentes en bois), et les normes NF (Règles d'utilisation des bois dans les constructions ; règles de calcul exécution des assemblages).
Charron charronnerie) - de char XIII° s. - : artisan qui fabrique les chariots, charrettes ainsi que les roues de ces véhicules
charpentier (v.tr.) Tailler, façonner, assembler les bois pour réaliser une charpente.
châtaignier (Castanea sativa Mill.) Châtaignier commun. Angl. : Chestnut, Sweet Chestnut. All. : Edelkastanie, Echte Kastanie. Ital. : Castagno. Provenances : Europe centrale et méridionale
chêne (Quercus pedunculata Ehrh. , Quercus sessiliflora S.M.) Ce groupe comprend les deux espèces les plus importantes en Europe : Chêne pédonculé et chêne rouvre. Angl. : Oak, pedonculate oak, sessile oak. All. : Stieleiche, traubeneiche. Ital. : Farnia, rovere. Provenances : Europe.
chevêtre (n.m.) 1. Pièce de bois dans laquelle s'assemblent les solives de remplissage d'un plancher lorsque celles-ci sont coupées au droit d'une enchevêtrure : " le chevêtre peut s'assembler à ses extrémités dans les solives d'enchevêtrure, ou reposer sur les murs. Dans le chevronnage, la pièce qui remplit les mêmes fonctions est également appelée chevêtre ". 2. Le mot chevêtre est souvent employé pour enchevêtrure.
Chevrier : cf. scieur de long
cheville (n.f.) 1. Tige de bois débité dans le fil, de 18 mm de diamètre environ, qui sert à boucher un trou ou assembler des pièces. 2. Cheville à expansion, cheville métallique destinée à recevoir une vis ou un écrou, pour permettre la fixation d'une pièce de bois ou de métal contre une maçonnerie. Elle peut être auto-foreuse ou bien mise en place dans un trou percé au préalable.
chevron (n.m.) 1. Pièce de bois de faible équarrissage qui, dans les charpentes, sert à supporter la couverture " les chevrons reposent en pied sur la sablière, en tête sur le faîtage et à leurs points d'appui intermédiaires sur les pannes" . 2. Chevron d'arêtier ou de noue, fourrure placée sur un arêtier ou sur une noue, et destinée à recevoir les empannons.
cimaise (n.f.) Pièce de bois moulurée qui, placée à environ 1 m de hauteur, forme le cadre d'un lambris
clin Planche de bardage, "les clins s'assemblent par rainure et languette, ou se recouvrent en crémaillère
closoir (n.m.) Type de cache-moineau que l'on place en contre-profil des matériaux de couverture, pour en clore le raccord avec le bardage.
cNDB Comité National pour le Développement du Bois
colle n.f.) Matière gluante durcissant sous l'effet de la chaleur, de l'air ou d'un agent polymérisateur, et que l'on étale à la surface des bois pour les faire adhérer : " les colles à froid ont permis à la charpente d'évoluer de manière spectaculaire ces vingt dernières années ". Les colles urée formol, résorcine-formole ou résorcine-phénol-formole sont les plus employées; les premières sont réservées pour les travaux placés à l'abri des intempéries, et les secondes à tous les travaux extérieurs.
colombage (n.m.) Ensemble des poteaux placés verticalement dans une construction à pan de bois.
colombe (n.f.) Chacun des poteaux qui entrent dans la composition d'un pan de bois, plus particulièrement les deux forts poteaux qui, placés de chaque coté d'une poutre maîtresse, soutiennent celle-ci.
comble (n.m.) 1. Partie supérieur d'un édifice. 2. Volume engendré par la charpente et couvert par le toit. 3. Ensemble de la couverture et de la charpente qui forme la toiture d'une construction.
console (n.f.) 1. Support en bois qui soutient une corniche, un balcon, un auvent, etc. 2. Prolongement d'une poutre ou d'une ferme en porte à faux.
construction (n.f.) 1. Action de construire. 2. Bâtiment construit. 3. Tout ouvrage dont la structure travail et qui a d'autre fonction que celle de supporter une toiture. Les constructions en bois se subdivisent en trois familles : les ouvrages définitifs parmi lesquels on trouve les maisons en pans de bois, les chalets et les maisons à ossature en bois; les ouvrages provisoires qui comprennent les étaiements, les échafaudages et les coffrages; les ouvrages spéciaux tels que ponts, passerelles, pylônes, palissades, silos, portes d'écluses etc.
contre-fil (n.m.) Sens contraire à la direction des fibres du bois. Il est possible que le contre-fil soit la caractéristique de certaines espèces d'arbre (Sapelli). La figuration rubannée est fréquente dans les bois tropicaux. Ce sont des couches superposées de fil incliné sur droit qui alterne avec des couches gauches. Il y a des déviations de fil : drapé, ondulé, etc. qui sont dues à la figuration. Pl. des contre-fils.
contre-latte (n.f.) Forte latte, plus longue et plus épaisse que les lattes du toit ou du bardage, posé de façon à les soutenir.
contre-marche (n.f.) Dans un escalier, pièce verticale comprise entre deux marches consécutives. Dans les escaliers à la française les contremarches s'assemblent dans une rainure pratiquée dans la marche supérieure et se clouent derrière la marche inférieure; dans les escaliers à l'anglaise, elle se visse le plus souvent dans un tasseau
contre-parement (n.m.) Face non-apprêtée d'une pièce de bois ou d'un panneau, opposée au parement.
contre-fiche (n.f.) 1. Pièces de bois entrant dans la composition des fermes. Placée en position inclinée, elle s'assemble, en tête, sous l'arbalétrier, et, en pied, dans le poinçon : " la fonction de la contrefiche est de lutter contre la flèche que pourrait prendre l'arbalétrier sous la charge que lui transmet la panne ". 2. en étaiement, grande pièce inclinée (tronc d'arbre ou assemblage de madriers) soutenant la poussée des terres ou d'un mur.
contre-flèche (n.f.) Courbure artificielle que l'on fait prendre à une pièce de bois ou à un élément de structure. La contreflèche est donnée à l'oeil ou par calcul, lors de la fabrication d'élément de structure ou lors de la pose de renforts. Dans le cas où elle est obtenue par un calcul, la contreflèche réelle donnée à l'élément considéré est légèrement supérieur à la flèche à la flèche que prendra cet élément sous la charge qu'il doit supporter.
contreplaqué (n.m.) Feuilles de bois minces, déroulées ou tranchées, superposées et collées de telle façon que les fibres d'une feuille soient perpendiculaires à celles de la feuille précédente. Chaque feuille du contreplaqué est appelée "pli", à l'exception de celle du milieu qui en est "âme". De manière générale, chaque contreplaqué compte un nombre impair de plis ; l'épaisseur de chaque pli est comprise entre 1 et 3 mm.
contrevent (n.m.) Dans une charpente, pièce de bois placée obliquement entre les fermes pour les renforcer. Souvent appelé Lien.
contreventement (n.m.) Agencement des pièces d'une construction destinées à en assurer la stabilité, s'opposer à sa déformation ou à son renversement. Dans une charpente traditionnelle, le contreventement s'effectue à l'aide de liens placé dans le plan du faîtage. dans les constructions plus importantes les contreventements deviennent de véritables poutres triangulées en K ou en N placées dans les plans de la toiture. Dans une charpente industrielle, le contreplaqué assure un contreventement efficace.
copeau (n.m.) Éclat, morceau, ruban détaché d'une pièce de bois au rabot ou au ciseau : gros copeau, copeau fin, frisé. De peu de valeur, le copeau a trouvé une utilisation dans la fabrication de panneau.
corroyer (v.tr.) Dégauchir, dresser et mettre aux cotes d'utilisation une pièce de bois, soit à la main, soit à la machine.
Coffretier anciennement, artisan associé au malletier et au bahutier et dont le métier est la fabrication des coffres, bahuts (coffres garnis de cuir), malles, fourreaux (de fusil, de pistolet,...), cantines, étuis (de chapeau, de fusil,...), paniers et divers autres objets destinés principalement au rangement d'objets et d'ustensiles

Colombage

Les "maisons à colombages" désignent un mode de construction traditionnel : la structure est apparente et agrémentée d'un torchis. Le terme "colombage" désigne l'ensemble des poteaux placés verticalement dans ce type de réalisation

costière Assemblage de planches rabotées, placées de chant et formant le cadre d'un châssis de toiture, tout en obturant le vide laissé dans l'épaisseur de la charpente entre le dessous du châssis et le nu du plafond.
coupe (n.f.) Disposition de joint par rapport aux pièces déjà assemblées. Coupe biaise ou fausse coupe : coupe oblique. Coupe carrée ou coupe droite : coupe à angle droit. Coupe d'onglet : coupe à 45°. Coupe perdue qualifie les lames de parquet de différentes longueurs.
courbe (n.f.) Bloc de bois massif constituant après taillage une première partie de limon ou de crémaillère curviligne en plan et en élévation et placé entre deux joints
couronne (n.f.) 1. Bloc de bois circulaire, massif ou en lamellé-collé, plein ou évidé placé au sommet de certaines coupoles, pour recevoir la tête des arbalétriers rayonnants. 2. Couronne de pointes ou de boulons : disposition circulaire de pointes ou de boulons, pour conférer à un assemblage un aspect plus soigné tout en assurant une reprise très satisfaisante des efforts qui sollicitent ces organes.
cours (n.m.) Rangée continue de pièces de bois assemblées bout à bout : " un cours de pannes, de sablières, de plinthes etc.".

Contre-fer

contre-fer n. masc. Pièce métallique appliquée contre la lame d'un rabot pour la coincer.

Coula

Bois d'Afrique, famille OLACACEAE, brun violacé veiné de brun sombre. Fil parfois ondulé

couture (n.f.) Distance comprise entre le joint et le bord du trou rond destiné à recevoir la cheville, dans un assemblage à tenon et mortaise chevillée. Cette distance est à peu près égale au diamètre de la cheville
couvre-joint (n.m.) Petite lame de bois rectangulaire recouvrant le joint de deux planches bord à bord et non assemblées
coyau (n.m.) Chacun des chevrons courts placés à la base des combles à forte pente pour adoucir l'égout : " les coyaux sont taillés en sifflet et cloués sur ou contre les chevrons du comble; par la brisure qu'ils produisent, ils donnent plus de mouvement à la toiture ".
croche (n.f.) Un des procédés du trait de charpente appliqué aux pièces courbes dans les trois dimensions de l'espace, c'est à dire cintrées en plan et en élévation : " dans le langage du charpentier, le mot croche est plus spécialement réservé à la charpente, et le mot courbe à l'escalier ".
croisée (n.f.) Châssis de fenêtre. Croisée à la française : composé de deux châssis volants. Croisée vénitienne : plusieurs châssis accolés. Les croisées sont parfois munies de courtes traverses appelées petits bois
croisillon Élément de charpente constitué par deux pièces de bois ou de métal disposées en croix et entrant dans la composition de certains pans de bois ou de poutre triangulée.
croix de st andré (n.f.) Croisement de deux pièces de bois selon les diagonales d'un rectangle, d'un carré, ou d'un quadrilatère quelconque, de manière à rendre l'élément indéformable. A leur intersection ces deux pièces s'assemblent par une entaille à mi-bois.
crosse (n.f.) Pièce rapportée sous le limon de départ d'un escalier, de manière à en augmenter la largeur et à la rendre égale à cet endroit, à celle du limon. 2. Partie courbe d'un arc en lamellé-collé. Syn. Rein.
croupe (n.f.) pan de toiture rampant à l'extrémité d'un comble. La croupe, qui peut être triangulaire ou trapézoïdale, est délimitée par deux arêtiers et un égout. Une croupe est biaise si son égout n'est pas perpendiculaire à ceux des longs pans. La charpente de croupe comprend une ferme de croupe, dans l'axe du faîtage, et deux demi-fermes d'arêtier
CSTB (abr.) Centre Scientifique et Technique du Bâtiment.

CAUE

(Conseil d'Architecture de l'Urbanisme et de l'Environnement).

CRPF

(Centre Régional de la Propriété Forestière).

CTBA (abr.) Centre Technique du Bois et de l'Ameublement. Constitue notamment le comité de la marque qui contrôle sévèrement et en permanence les fabrications de panneaux de contreplaqués et de particules.
CTBF (abr.) Label de qualité. Bois reconnu et contrôlé.
CTBH (abr.) Voir Panneau. Label de colles spéciales qui confère aux panneaux leur bonne tenue à l'humidité.
CTBP (abr.) Voir Panneau. Panneaux de particules destinés aux meubles plaqués.
CTBX (abr.) Voir Panneau. Label des contreplaqués aptes aux emplois extérieurs. Ce label garantit le collage phénol-phormol résistant à l'humidité, aux intempéries. Sont classés "Extérieur" ou "Coffrage"
Cubage (n.m.) Évaluation d'un volume de bois en unités cubiques.
coeur (n.m.) Partie centrale, dure et plus foncée d'un tronc d'arbre. Elle est composée des cellules mortes plus résistantes que l'aubier. V. duramen.

Ciseau

ciseau n. masc. Outil à lame rigide dont l'extrémité libre, biseautée, permet de tailler le bois, le métal, la pierre, etc. Un ciseau de menuisier, de sculpteur, de graveur, d'orfèvre. Ciseau à froid, utilisé pour attaquer un métal à froid ou comme levier.

Carbonisé

Bois brûlé partiellement par l'action de la foutre ou du feu

Cerne

Couche concentrique d'un arbre, le nombre indique l'âge de l'arbre. 

Caducifiolié

Ce dit d'une forêt d'essences à feuilles caduques

Chant ou rive

N'importe lequel des deux côtés longitudinaux opposés les plus étroits du bois avivé.

Chablis

Arbre renversé par le vent. 

Cicatrice

Surface blessée recouverte totalement ou partiellement lors de la croissance d'un bois rond. 

Cœur Brun (chêne)

Champignon affectant le duramen des arbres sur pied, caractérisée au premier stade du développement de ce champignon par une dis-coloration brunâtre en forme de flamme.
Note : les bois présentant le premier stade de l'attaque sont parfois recherchés en menuiserie pour leur aspect et leur facilité d'usinage.

Cœur enfermé

Moelle présente, mais n'apparaissant ni sur les faces ni sur les rives. 

Cœur noir (frêne)

Coloration anormale brun noirâtre plus ou moins homogène et plus ou moins étendue de la partie centrale de certaines essences, principalement le frêne. 

Cœur rouge

Dis coloration rouge de la partie centrale du tronc de hêtre, nettement délimitée. 

Contreparement

Face qui, selon des règles de classement spécifiques, est jugée la moins bonne.
Note : parement, la meilleure face.

Couche d’accroissement

Quantité de bois produite pendant une période de végétation.
Note : la largeur des couches d'accroissement dépend de l'essence et des conditions de croissance. Dans les zones tempérées la couche d'accroissement correspond au cerne annuel.
 

Corde de bois

4 stères et généralement 3 dans un grand nombre de départements – 4 mètres x 1 x 1 m ou 3 x 1 x 1 mètre

Courbure

Déviation naturelle possible d’un bois rond

Courbure simple

Courbure caractérisée par une seule flèche

Courbure multiple

Courbure caractérisée par deux déviations ou plus, dans un même ou plusieurs plans. 

Coup de foudre

Fente latérale causée par un coup de foudre. 

Chambranle 

: n .m Encadrement d’une porte ou d’une fenêtre, scellé dans le mur .

Cheville

n.f. Petit morceau de bois dur de forme pyramidale, qu’on utilise pour fixer des assemblages. Elle peut être en métal avec une section en croix. (cheville cruciforme)

Clavette

n .f. Petite cheville métallique qui, passée au travers d’une autre pièce (boulon, cheville plus grosse ) l’immobilise.

Clez ou clé

n .f. Instrument servant à ouvrir ou à fermer(une porte), à serrer ou desserrer (un boulon) et monter ou démonter.

Copeaux

n.m Petits morceaux de bois, plus ou moins gros

Cannelure n .f. Partie creuse allongée verticalement qui sert à décorer le fût d’une colonne
 

En synergie avec notre bureau d'études, NET- IMPORT supervise toutes sortes de projets, de la conception à la réalisation. Agenceurs, Décorateurs, Paysagistes, Créateur ou Architectes, sachez que nous pouvons répondre aux demandes des plus exigeants...

Pour tous renseignements complémentaires : 06 24 94 14 71