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LEXIQUE
DES BOIS LETTRE "P" |
Penture |
n. f.
Pièce de fer de support et de rotation utilisée pour les portes ou des
volets. |
Petit
bois |
n .m.
Montant ou traverse d’une fenêtre qui maintient les vitres |
Pivot |
n .f.
Pièce cylindrique qui sert de support à une autre pièce et lui permet de
tourner sur elle - même . |
Placage |
n .m
.
1 :
Feuille de bois de faible épaisseur obtenue par tranchage ou déroulage
2 :
Revêtement d’une matière ordinaire par une matière plus précieuse ou plus
dure. Le placage est employé par les ébénistes pour la décoration des
meubles en damier. Les bois de placages de la région sont surtout le chêne,
l’érable le sycomore, le frêne, le merisier et l’orme . |
Palançon |
(n.m.) Pièce de bois formant armature
dans un torchis |
Palée |
(n.f.) 1. File de pieux* plantés terre,
et reliés par des moises* et des croix de Saint-André pour former l'appui
des longerons d'un tablier de pont. 2. Palée de stabilité, triangulation
particulière entre deux poteaux consécutifs, pour les rendre solidaires et
stabiliser longitudinalement une construction |
Panneau de
contreplaqué |
La norme française NF B 50-004 les
définit ainsi : " Panneau obtenu par collage de plis superposés à fil
croisé. En général, les plis extérieurs et intérieurs sont placés
symétriquement de chaque côté d'un pli central ou d'une âme. Si l'âme est
constituée d'un matériau autre que du bois massif et de placages, il doit
exister au moins deux placages croisés de part et d'autre de cette âme. |
Panneau de
lamelles minces orientées |
L'OSB du terme anglais " oriented
strandboard ", appelé aussi " panneau de grandes particules orientées ", est
constitué de minces lamelles de bois 0,3 à 0,4 mm d'épaisseur) dont la
longueur peut atteindre 6 à 8 cm environ. Orientées dans le sens de la
longueur pour les couches extérieures et dans le sens de la largeur pour la
couche intérieure, elles sont collées puis pressées entre elles. Sa
constitution en longues lamelles en fait un matériau aux caractéristiques
mécaniques élevées, bien supérieures à celles du panneau de particules.
Cette technique est exploitée en France depuis 1984. Ses caractéristiques
techniques et esthétiques le destinent à des emplois diversifiés :
emballage, mobilier design, panneaux de structure, âme de poutre en 1, etc. |
Panneau de
particules |
La norme française NF B 54- 1 00 les
définit ainsi : " Matériau en plaque fabriqué sous pression, essentiellement
à partir de particules de bois ou d'autres matières fibreuses ligno-cellulosiques
(amas de lin, bagasse, chanvre ...) avec ou sans apport de liant. " Les
matières premières utilisées sont des bois résineux, feuillus, tendres ou
durs sous la forme de copeaux, plaquettes, déchets, délignures, rondins. Le
mélange des essences doit être réalisé avec rigueur car chacune possède des
caractéristiques propres de densité, longueur de fibres, propriétés
mécaniques. Il s'agit donc d'un panneau à base de particules de bois,
parfois improprement appelé " panneau aggloméré " ou " agglo ". Ces
particules (petits morceaux de bois obtenus par fragmentation du bois) sont
enduites de colle (résine thermodurcissable) et étalées sur une surface
plane, puis passées sous une presse. Les particules n'ont pas de forme type,
mais leurs trois dimensions sont comparables. |
Panneau
latté |
Ce sont des panneaux constitués de plis
sur les deux surfaces extérieures, et de lattes de bois à l'intérieur. Ils
sont considérés comme une variante des contreplaqués |
Panneau de
fibres |
La norme française NF B 54-050 les
définit ainsi : " Le panneau de fibres est un matériau en plaque fabriqué
avec des fibres ligno-cellulosiques, dont la cohésion primaire résulte du
feutrage des fibres et de leurs propriétés adhésives propres. Des liants et
ou des adhésifs peuvent y être incorporés. " Ces panneaux sont donc
fabriqués à base de fibres obtenues par défibrage du bois. L'usage de colle
n'y est pas systématique. La cohésion est assurée par l'enchevêtrement des
fibres et la réactivation de la lignine. Par rapport aux particules, qui
sont des morceaux de bois ne préexistant pas naturellement mais résultant
d'une fragmentation du bois, les fibres sont une entité anatomique du bois
qui existent à l'état naturel. Le défibrage consiste à les séparer les unes
des autres. Contrairement aux particules, elles ont une forme très allongée.
Il existe différents types de panneaux de fibres liés au procédé de
fabrication ou à la densité du panneau (selon qu'il est plus ou moins pressé
lors de sa fabrication) : panneau tendre, mi-dur, dur, MDF (abréviation du
terme anglais " medium density fiberboard ", soit " panneau de fibres de
moyenne densité "). Le MDF est aujourd'hui largement répandu en France. Il
est fabriqué selon le procédé par voie sèche. Les fibres sont séchées et
leur liaison est réalisée au moyen d'une colle. On obtient un panneau
relativement épais, jusqu'à 35 mm, de structure homogène. Il se différencie
des autres types de panneaux par ses bonnes qualités mécaniques (résistance
au choc), sa facilité d'usinage et son aptitude à recevoir de nombreuses
finitions utilisées habituellement sur le bois (vernis et laque). Il est
très utilisé dans le meuble et la décoration. |
Pannetonage |
(n.m.) Fixation des tuiles mécaniques par
le dessous, à l'aide de fil de métal galvanisé; cette technique est utilisée
surtout pour des versants de toits exposés à des vents violents |
Parallam |
(n.m.) Le Parallam (marque déposée par la
société américaine Trus Joist McMillan) permet de récupérer des chutes de
déroulage pour en faire des poutres. Le principe consiste à encoller et
presser ces chutes pour reconstituer une poutre présentant des
caractéristiques mécaniques stables. Ce produit est relativement concurrent
du LVL au niveau de ses applications |
Pare-flamme |
PF) (n.m. & adj.) "Qualifie un composant
qui, soumis à des conditions d'incendie normalisées, satisfait aux critères
de résistance mécanique, d'étanchéité à la flamme et d'absence d'émission de
gaz inflammables. Un élément pare-flamme diffère d'un coupe-feu* en ce que
ce dernier garantit, en plus, une protection thermique. Le classement
pare-flamme d'un composant est exprimé en degrés qui correspondent à des
durées de résistance étagées entre 15 minutes et 6 h. |
Parement |
(n.m.) Face d'établissage des bois
rabotés*, qui porte les signes conventionnels d'établissage et sert de
repère et de guide pour le tracé et le traçage' des assemblages : " le
parement est en général la face la plus belle d'un élément; la face opposée
est appelée contre-parement |
Parquet -
parquet bois |
(n.m.) Revêtement de sol en lames ou en
plaquettes de bois composant le parement d'un plancher (à l'origine, le
parquet désignait un enclos fermé par une clôture en planches). Les
principaux types de parquets et leurs dispositions sont : 1/ Les parquets
massifs, ou parquets à lames. Ils sont constitués de longues lattes
assemblées à rainure et à languette ; les lames peuvent aussi être à double
rainure pour assemblage à fausse-languette, ou, dans le cas des résineux, à
feuillure basse en demi queue-d'aronde. Les dimensions générales de ces
parquets sont normalisées. La mise en oeuvre est régie par un DTU ; les
parquets à lames sont soit cloués sur un gîtage bien horizontal de
lambourdes, soit directement sur les solives, soit posées sur une aire de
bitume. Une norme spéciale concerne les parquets en lames minces destinés à
une pose collée. Après leur pose, les parquets sont rabotés (replanissage au
rabot ou au racloir de parqueteur), puis cirés ou vitrifiés. On distingue :
Parquet à l'anglaise ou à frises dont les lames sont parallèles dans une
même direction. Ce type de parquet peut être posé à coupe perdue (lames
aboutées sans recherche d'alignement des joints au droit des lambourdes), à
coupe de pierre (joints alternés régulièrement, en liaison) ou à joints sur
lambourdes. Parquet à bâtons rompus dont les lames, à coupe droite, sont
disposées en travées obliques alternées correspondant aux lambourdes.
Parquet à point de Hongrie (autrefois dit à fougères), disposé comme le
précédent, mais dont toutes les lames sont à coupe d'onglet, permettant un
alignement des joints des travées. Parquet à compartiments ou parquet
d'assemblage, ou parquet à la française, ou parquet Versailles, est composé
de cadres assemblés à tenon et mortaise, entre lesquels sont embrevés des
éléments de remplissage arasés ; ces parquets ont souvent donné lieu à des
motifs complexes de figures géométriques entrelacées, rosaces, damiers, etc.
2/ Les parquets mosaïques. Sous forme de panneaux carrés de 125, 250 ou 300
mm de côté ; les lamelles ont en général 25 mm de large pour 8 mm
d'épaisseur (5 mm pour des bois durs) ; elles sont réunies à joints vifs par
contrecollage du parement sur un papier, qui sera décollé après la pose. Ces
parquets sont posés par collage avec une colle vinylique, sur chape ou dalle
en béton parfaitement ragréé avec un enduit de lissage adéquat. Après la
pose, un ponçage général est nécessaire, suivi d'une mise en cire ou d'une
vitrification. 3/ Les parquets en panneaux préfabriqués contrecollés, dits
parquets vernis-usine, à emboîter côte à côte pour constituer des parquets
flottants, sur lit de sable, sur des panneaux de particules, ou sur un
isolant non compressible. Ces panneaux sont fournis à parement fini,
généralement vitrifié." 4/ Les parquets densifiés sont les parquets
constitués de lames ayant subi un traitement de densification par
imprégnation de résines. Ils conviennent pour des sols à usage public
intensif, nécessitant une haute résistance à l'usure." 5/ Autres
dénominations : Un parquet de marqueterie est composé de l'assemblage
d'essences de bois de tonalités différentes. Un parquet-vannerie est un
parquet-mosaïque dont la composition produit l'effet d'une vannerie. Un
parquet de glace est l'assemblage de lambris de bois, en général marouflé,
servant de support aux miroirs pour protéger leur tain. Les parquets sans
joints désignaient certains revêtements de sol s épais à base de mélanges
spéciaux ou mortiers de résines, coulés in situ ; Le parquet bois-pierre
désignait le Terrazzolith. |
Paume |
(n.f.) Assemblage de bois par tenon à un
seul arasement et mortaise ouverte ; la paume peut être carrée ou grasse.
L'enture en paume est l'assemblage usuel de prolongation bout à bout de deux
chevrons, de deux pannes, de deux solives |
Pendillard |
(n.m.) Petit tasseau auquel est suspendue
une charge légère : " le caisson placé à la base du toit peut être suspendu
aux chevrons ou à la sablière par des pendillards |
Pilotis -
terrasse sur pilotis |
(n.m.) Support composé d'un ensemble de
pilots solidarisés par des moises. Les pilotis sont établis dans les
terrains meubles et aquifères, pour porter des ouvrages qui concernent, le
plus souvent les travaux publics, tels que des piles de ponts. Foncés dans
le sol, les pilots sont arasés ou recépés, pour recevoir un quadrillage de
madriers ou de longrines qui porte l'ouvrage. Un pilotis de remplage, ou de
retenue, est celui qui sert uniquement à stabiliser un terrain à proximité
d'un ouvrage d'art ou d'un édifice |
Pin d'orégon |
(pseudotsuga menziesii Mull.). Douglas,
sapin de Douglas. Angl. : Douglas fir, Oregon pine. All. : Douglastanne,
Douglasie. Ital. : Douglasia. Provenances : Côte Pacifique de l'Amérique du
Nord, cultivé en Europe. |
Pin jaune |
(Pinus palustris Mill, pinus rigida Mill,
pinus taeda L. (specie plurae).). Pitchpin, southern yellow pine. Angl. :
Southern pine. All. : Southern Pine. Ital. : Pino giallo. Provenances : Sud
et sud-est de l'Amérique du nord, Amérique centrale. |
Pin
maritime |
(Pinus pinaster Soland, Pinus maritima
Lamb.). Pin des landes pour le pin maritime de la côte de Gascogne. Angl. :
Maritime pine, pinaster. All. : Seekiefer, strandkiefer, sternkiefer. Ital.
: Pino marittimo, pinastro. Provenances : côte nord de la Méditerranée et
côte de l'Atlantique. |
Pin
sylvestre |
(Pinus silvestris L.). Angl. : Pine, Red
pine, Scots Pine. All. : Kiefer, Föhre. Ital. : Pino sylvestre. Provenances
: Europe, nord-ouest de l'asie. |
Pin
weymouth |
(Pinus strobus L.). Angl. : Weymouth
pine, Yellow Pine. All. : Weymouthkiefer, Weymouthförhe. Ital. : Pino strobo.
Provenances : Est du Canada etnord-est de l'Amérique du nord, cultivé en
Europe. |
Planche |
(n.f.) 1. Pièce de bois longue et large,
dont l'épaisseur est de 27, 34 ou 41 mm. 2. Planche de rive, planche de même
nature que les bandeaux, clouée sur le chevron de rive, et contre laquelle
s'arrête la couverture. 3. Planche lorraine, planche en sapin de belle
qualité, ayant 26 x 305 mm ou 35 X 305 mm de section et 2 m ou plus de
longueur, cette dernière progressant par tiers de mètre : " la planche
lorraine est employée comme bandeau ou comme planche de rive, par exemple ".
4. Planche de trait, représentation graphique effectuée par un charpentier
sur une feuille de papier, pour lui permettre d'apprendre les principes du
trait. 5. Planche d'entrevous, voir entrevous. |
Plancher |
(n.m.) Paroi horizontale composant le sol
d'un étage ; de façon générale, ses éléments constitutifs sont : - Une
ossature (poutres, poutrelles, solives), qui reporte vers les appuis (murs
ou poteaux) le poids propre du plancher et les surcharges qu'il doit
supporter sans fléchir, avec une marge de sécurité : cloisons, mobilier,
équipements et occupants ; la flèche admissible en charge est en général
limitée à 1/300e de la portée. - Un remplissage entre ces éléments
d'ossature, s'ils ne sont pas jointifs entrevous, hourdis, voûtains. - Un
ouvrage plan qui forme le support du revêtement de sol : dalle de
compression ou de répartition, chape de mortier de ciment, aire de plâtre,
gîtage de lambourdes." Selon leur conception, les planchers sont classés en
: Planchers en bois, ou planchers bois. Ils sont en général composés d'une
ossature de solives, bastaings ou madriers de section 6,5 x 17 cm à 14 x 20
cm, établis parallèlement sur chant entre des appuis. Le plancher est dit
soit à travure simple (solives parallèles sans appui intermédiaire d'un mur
à l'autre), soit à travure composée, c'est-à-dire recoupé par une ou
plusieurs poutres intermédiaires, si la portée entre murs est supérieure à 5
mètres. Des ouvrages particuliers (enchevêtrures) interrompent les travures
à proximité des cheminées et conduits de fumée (garde au feu), au droit des
ouvertures (linçoirs), et autour des trémies d'escaliers et trappes.
L'espacement entre les solives, autrefois en bois grossièrement équarri,
était rarement supérieur à la largeur de ces solives (soit 0, 12 à 0,20 m) :
le solivage était dit ""vide pour plein. Avec les bois usinés, l'espacement
a été porté à 0,35 m, voire plus. Les extrémités des solives sont soit
encastrées dans les murs sur 15 à 20 cm de profondeur, avec vide d'air pour
les protéger de l'humidité, soit posées sur des appuis saillants : corbeaux,
sablières, lambourdes ou muraillères. L'assemblage d'une solive sur une
poutre est un repos, soit simple, soit à encastrement entaillé, soit sur
lambourde rapportée, soit soutenue par des étriers. Les assemblages entre
solives et chevêtres sont en général à tenon et mortaise, confortés par un
étrier double ou par un sabot. Entre les solives, le mode de hourdage varie
selon que la partie inférieure (retombée) des solives doit ou non rester
apparente. Dans les planchers traditionnels, le chant supérieur des solives
était soit couvert de bardeaux sur tasseaux, servant de support à une aire
en plâtre recevant les carrelages, soit garni d'un gîtage de lambourdes
recevant un parquet." Planchers mixtes. Ce terme recouvre divers systèmes
dont la structure porteuse associe intimement deux matériaux, en particulier
bois et béton, ou acier et bois. Les procédés proposés sont nombreux.
Planchers collaborants. On désigne parfois ainsi les planchers mixtes, ou
rapportés en consolidation de planchers anciens, si leur solidarisation est
assurée par un ensemble de pattes d'ancrage coudées, soudées ou boulonnées
sur les poutrelles ou solives |
Platelage |
(n.m.) 1. Plancher en bois brut, destiné
à recouvrir le tablier d'un pont ou d'une passerelle. 2. Ensemble des
plateaux posés à plat pour former le plancher des échafaudages. |
Pli |
(n.m.) Chacune des faibles épaisseurs de
bois dont la superposition orthogonale donne, après collage, le contreplaqué
. "un contreplaqué à 5 ou 7 plis |
Plot |
(n.m.) 1. Bille de bois débitée en
plateaux, et reconstituée dans sa forme initiale avec interposition
d'épingles qui favorisent la circulation d'air pour le séchage. 2. Dé en
béton utilisé comme système de fondation. |
Poirier |
(Pirus communis) Angl. : Pearwood. All. :
Birnbaum. Ital. : Perastro, pero. Provenances : Europe centrale et
méridionale cultivé ailleurs sous climats semblables. |
Porte-à-faux |
(n.m.) 1. Partie d'une poutre ou d'une
construction se prolongeant au-delà des appuis. 2. En porte-à-faux, en
dépassement par rapport à un point d'appui : " les encorbellements et les
auvents sont construits en porte-à-faux ". |
Porteur |
(n.m.) Qualifie un élément de charpente
(poteau, poutre, etc.) qui, par son emplacement, son équarrissages ou sa
structure, fournit un appui stable et supporte une partie de la construction |
Poteau |
(n.m.) 1. Pièce de charpente placée à la
verticale ou en position légèrement inclinée, et servant de support : " le
poteau peut être réalisé en bois massif, triangulé ou lamellé-collé, et être
éventuellement armé de profiles métalliques ". 2. Dans les escaliers droits
à la française, pièce verticale dans laquelle s'assemblent les limons et les
mains courantes : " un escalier sur poteaux ". 3. Poteau de fond, poteau
allant de la base au sommet d'un ouvrage (en escalier, par exemple). 4.
Poteau de départ, poteau placé au départ d'un escalier : Syn. pilastre. 5.
Poteau d'huisserie, à chacun des montants qui, avec la traverse, forme
l'huisserie d'une porte ; b. dans un pan de bois, poteau destiné à recevoir
une huisserie de porte 6. Poteau de lucarne, chacun des poteaux qui forment
les côtés d'une façade de lucarne. 7. Poteau pendulaire, poteau articulé à
chaque extrémité ; ainsi quand il ne reçoit pas de charge verticale ce
poteau ne subit que des efforts normaux. 8. Hangar sur poteaux, hangar dont
la charpente repose sur des poteaux. |
Potelet |
(n.m.) Petit poteau employé dans les pans
de bois, les fermes, l'échiffre d'un escalier, etc |
Poutraison |
(n.f.) Ensemble des poutres assemblées
qui composent l'ossature porteuse horizontale d'un plancher. Assemblage des
poutres d'une charpente (on dit parfois poutrage). |
Poutre |
(n.f.) "1. Élément de structure, en
principe horizontal, recevant des charges verticales. 2. Pièce de bois
massif de fort équarrissage et aux dimensions hors commerce, ou assemblage
de pièces selon diverses techniques (triangulée, à âme pleine,
lamellé-collé), destinés à franchir de grandes portées et à supporter des
charges diverses en leur fournissant un appui dégagé du sol : " une poutre
peut être à inertie constante ou variable, sur deux appuis, continue ou
sous-tendue ". 3. Poutre maîtresse, poutre principale (d'un solivage par
exemple). La poutre traditionnelle est une longue pièce de bois équarri de
fort échantillon (> 120 x 120 mm), sur laquelle reposent, ou dans laquelle
sont assemblées les extrémités des solives d'un plancher de bois. Les
extrémités de la poutre sont soit encastrées dans les murs porteurs, soit en
appui libre (en feuillure, sur corbeaux en saillie, sur sabot métallique ou
sur poutre de rive). La Poutre composée, faite d'un assemblage de pièces de
bois accolées pour obtenir la section voulue. La poutre mixte associe une
âme métallique continue ou discontinue (à ailes rectilignes en bois massif
ou lamellé-collé. La poutre sous-tendue, poutre dont la résistance à la
flexion est confortée par un ou plusieurs tirants métalliques. La poutre en
lamellé-collé: les propriétés mécaniques et les possibilités esthétiques de
ce matériau en font un matériau de charpente idéal pour des poutres de
grande portée, soit droites, soit cintrées, dont le profil peut être modulé
en fonction des caractéristiques de résistance recherchées. Les fabricants
proposent soit des éléments standardisés courants, soit sur mesure. |
Préservation des bois |
(n.f.) Terme utilisé en France pour
qualifier les produits et les procédés visant à protéger le bois contre les
agents d'altération d'origine biologique. Ce terme a été adopté
conventionnellement, de préférence à protection et à conservation. |
Protection
des bois |
V. Préservation. |
Plate
bande |
n.f.
Languette pratiquée tout autour des panneaux d’une porte moulurée
traditionnelle pour les insérer dans le cadre de la porte. |
Profilage |
n.m.
Opération par laquelle on donne une forme déterminée à une pièce de bois
(ex : feuillure, moulure, rainure). |
Panneau |
n. m.
Elément plan (plat), encadré ou non, d’une moulure, d’un ouvrage de
menuiserie (ex : panneau de porte). |
Parclose |
n. m.
Moulure servant à fixer une vitre dans la feuillure (entaille prévue pour
recevoir une autre pièce), d’un châssis (assemblage servant à soutenir un
vitrage.) |
Patere |
n. f.
Support fixé à un mur, en forme de disque, de boule ou de crochet, qui sert
soit à suspendre des vêtements, soit à soutenir des rideaux. |
Panneaux
bois ciment |
Panneaux reconstitués à
partir de particules de bois dont le liant est à base de ciment. |
Perche
ou gaule |
Bois
rond, long et mince |
Perchis |
Bas : bois
dont les arbres ont entre 12 et 15 cm de diamètre (environ 25 ans);
Haut : 15 à 25 cm de diamètre (environ 50 à
75 ans). |
Point de
saturation des fibres du bois |
État
d'une pièce de bois tel que les membranes cellulaires sont saturées en
humidité mais qu'il a pas d'eau dans les cavités cellulaires.
Note : la teneur en humidité au point de saturation se situe, pour le bois
tempérés, à 30% environ |
Pourriture de l’aubier |
Pourriture localisée spécifiquement dans l'aubier |
Pourriture de cœur |
Pourriture localisée spécifiquement dans le duramen |
Panneauté (bois)
|
Panneau
reconstitué à partir d'éléments de même épaisseur collés sur chant, et sur
leurs faces s'il est composé de plusieurs couches |
Patte de
chat |
Groupement de picots très rapprochés les uns des autres.
Note : surtout dans le chêne |
Perchis |
Noeud
rond ou ovale, adhérent ou partiellement adhérent, ayant une dimension
maximale de 5 mm provenant d'un rameau présent sur la grume |
Picot |
Trou de
ver n'excédant pas un diamètre de 2 mm |
Piqûre
noire |
Piqûre
dans laquelle le tunnel et éventuellement sa périphérique sont de couleur
noire.
Note : la coloration est souvent provoquée par un champignon |
Plateau |
Bois
scié possédant deux faces parallèles et une ou deux rives entièrement
flacheuses. |
Panne |
Pièce de
bois posée sur les arbalétriers ou sur les murs porteurs et qui leur
transmet les charges de la couverture |
Panneau
dérivé bois |
Panneau
d’origine ligno-cellulosique (bois) comprenant : les panneaux de particules,
les contreplaqués, les panneaux de fibre, les panneaux lattés. ... |
Panneau
mélaminé |
Sur le
panneau de base, on applique, sous haute pression et â haute température un
film de mélamine, qui se compose d'un papier de base imprégné de résine de
mélamine. Ce papier qui est disponible en différents poids, peut être
imprimé ou non. Plus le poids est élevé, plus le papier absorbera de résine,
et plus la couche de mélamine sera épaisse. |
Plat
joint |
plat-joint n. masc. Joint de pièces de bois posées bord à bord, sans
assemblage. |
Plinthe |
Assise
inférieure (carrée, polygonale, etc.), non moulurée, qui constitue, avec un
corps de moulure, la base d'une colonne, d'une statue, etc |
Parqueteur |
(parqueterie) - de parquet 1691
- : artisan menuisier qui fabrique, pose et répare les parquets (revêtements
de sol formés d'éléments de bois assemblées de manière à former des motifs
décoratifs). |
Pipier |
- de pipe XVI° s. - : artisan
spécialisé dans la confection des pipes |
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